Nul part De la chaleur Que se sentent les ailes La douceur infinie De l'arme pluvieuse On lui rend aisément sa peur S'écorcher de la main jusqu'au poigné Il faut se tordre à la vie qui mort Passer la basse à la messe Ca y est, ça te touche Jusqu'où ça te blesse Jusqu'au calme de tes larmes Je serai à ce qui te plait Te donner mes avis Les poser sur ma vie Moi en te lisant j'y ai vu mon sang La même étoile Sous ton hâle Tes yeux y sont Et je te veux Ici à deux